Le décès du Pape François, ce lundi 21 avril 2025, à l’âge de 88 ans, a provoqué une onde de choc dans le monde entier. Celui qui fut le premier pontife venu d’Amérique latine laisse derrière lui un héritage spirituel, social et politique, et une Église en quête de continuité.
Parmi les nombreuses voix qui se sont exprimées à la suite de cette perte, celle du cardinal guinéen Robert Sarah n’est pas passée inaperçue. Sur le réseau X (anciennement Twitter), l’ancien préfet de la Congrégation pour le Culte Divin a sobrement déclaré : « Nous prions pour le repos de l’âme de François », rendant hommage à celui avec qui il a partagé les plus hautes sphères de l’Église catholique.
La réaction de ce prélat africain, connu pour ses positions conservatrices et sa stature spirituelle, intervient alors que son nom circule de nouveau dans les discussions sur la succession de François. À 79 ans, le cardinal Sarah reste une figure influente dans l’Église, respectée pour sa rigueur théologique, sa discrétion et son attachement à la tradition.
Dans un moment aussi solennel, les projecteurs se braquent naturellement vers la suite : le conclave à venir. La question de l’avenir de l’Église catholique se pose avec acuité, et des voix venues d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine pourraient cette fois peser encore davantage dans le choix du prochain chef de l’Église universelle.
Alors que les cloches sonnent partout dans le monde en mémoire de Jorge Mario Bergoglio, le monde catholique entre dans une période de deuil, mais aussi d’attente. Le nom de Robert Sarah, déjà évoqué lors du conclave précédent, revient dans les conversations. Le temps, désormais, est à la prière, au recueillement, et bientôt, à la décision.
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