La Cour suprême de Guinée Équatoriale a rendu son verdict dans l’affaire qui a secoué le pays et le monde entier : Baltasar Engonga, accusé suite à la diffusion de plus de 400 vidéos à caractère s3xu3l sur Internet, a été acquitté. Selon le tribunal, les relations présentées dans ces vidéos impliquaient uniquement des femmes majeures et consentantes. Aucune preuve de coercition ou d’influence n’a été établie, et des examens médicaux ont confirmé que Baltasar n’a transmis aucune maladie sexuellement transmissible à ses partenaires.
Le scandale a pris une tournure inattendue lorsque des maris des femmes concernées ont exprimé des réactions variées. Certains ont remercié Baltasar, affirmant que ces vidéos leur avaient révélé les infidélités de leurs épouses. Ces révélations ont conduit plusieurs couples à divorcer, les hommes considérant ces découvertes comme nécessaires pour mettre fin à des relations jugées malhonnêtes.
Malgré son acquittement, Baltasar a dénoncé la fuite des vidéos comme une atteinte grave à sa vie privée. Il a exprimé son indignation face à une situation qu’il qualifie de traumatisante, affectant à la fois sa vie personnelle et professionnelle. Il a annoncé son intention de porter plainte contre les responsables de cette diffusion qu’il assimile à une campagne de diffamation. « Cette affaire a porté atteinte à ma réputation et a exposé ma vie privée à ma famille, à ma femme et à toute la république », a-t-il indiqué, appellant à une enquête pour identifier les auteurs de la fuite et les traduire en justice.
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