Ce vendredi 7 mars, le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a enfin pris la parole sur la crise sociopolitique en Guinée. Lors d’une conférence de presse, il a insisté sur un « retour rapide à l’ordre constitutionnel » et un « esprit d’apaisement politique ».
La France s’est aussi dite préoccupée par les disparitions forcées et la répression de la société civile. Elle exige des autorités guinéennes de faire la lumière sur « l’enlèvement et les violences subies par l’activiste Abdoul Sakho », ainsi que sur les cas de Foniké Menguè, Billo Bah et Habib Marouane Camara.
Une prise de position qui rejoint celles des États-Unis, de la CEDEAO et des Nations unies. Reste à voir si cela fera bouger les lignes à Conakry.
Aliou
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